La fraternité dans la rue

« Les hommes ne sont pas faits pour être seuls » car « nous sommes des animaux sociaux ».  Pour certains, la fraternité dans la rue, « c’est des amis qu’on côtoie », peut-être pour se faire « un semblant de famille ». Pour d’autre la rue c’est « une grosse galère », où l’on est « invisible »,  où l’on doit « rester sur ses gardes ».

Alors quand la fraternité n’est pas au rendez-vous, peut-on s’en remettre à la solidarité ? Quelle est la différence entre solidarité et fraternité dans la rue, quand on fait la manche par exemple ou dans les lieux d’accueil comme le Samusocial ? Pour certains, la fraternité est un lien plus « personnel », un « groupe d’appartenance », pour d’autre la solidarité est un lien plus éphémère mais qui n’attend rien en retour. Enfin un participant conclut par leur possible « dénominateur commun : l’amour ».